Pierre Thiry, Isidore Tiperanole et les trois lapins de Montceau-Les-Mines

Résumé :

A cette époque, Montceau-les-Mines était bien différent d’aujourd’hui. — Oui, on sait déjà tout ça !!! répondrez-vous. C’était la campagne, il n’y avait personne à part quelques lapins, il ne se passait rien du tout… Ce n’est pas si simple, il se passait même bien des choses. Il y avait Arthur, Theobald et Justin, il y avait aussi la belle Ermelinde, il y avait encore… Isidore, il y avait enfin… Mais je ne vais pas vous raconter toute l’histoire maintenant, il faut aussi ouvrir le livre et lire Isidore Tiperanole et les trois lapins de Montceau-les-Mines alors vous apprendrez des choses qui vous étonneront peut-être. A cette époque, Montceau-les-Mines scintillait de poésie.

Mon avis :

Auparavant, j’avais déjà repéré ce livre sur plusieurs blogs, ou vidéos, et le titre m’avait beaucoup intrigué. Donc, avant que l’auteur ne me propose de découvrir son univers, j’étais déjà bien renseignée sur l’histoire. De plus, une de mes meilleures amies m’a dit connaître l’auteur à travers son premier ouvrage : Ramsès au pays des points virgules. Je me suis donc dit que c’était à mon tour de rentrer dans le petit monde de l’auteur.

Reçu au matin de mon anniversaire, lu directement.

A première vue, la situation de départ pourraît sonner comme un déjà-vu, mais lorsqu’on se plonge réellement dans l’histoire, on y découvre de l’originalité.
A Montceau-Les-Mines, pas d’humains, puisque ceux-ci sont remplacés par des boules de poils aux grandes oreilles: des lapins. Nous faisons donc la conaissance de trois frères très particuliers : Arthur, Théobald et Justin. Ces trois frères possèdent leur caractère bien à eux, ce qui nous fait rire pendant la lecture! En effet, ces troi frères sont amoureux de la même princesse, Ermelinde, qui vit au Palais Royal..

Et c’est par différents moyens (tous assez drôles!) que ces trois frères vont tenter de la charmer, pour qu’elle daigne s’intéresser à l’un d’entre eux. C’est la que commence leurs drôles d’aventures..

J’ai beaucoup aimé me détendre avec ce livre entre les mains. J’ai trouvé les illustrations assez jolies, n’importe quel enfant craquerait devant elles!

De jolies tournures de phrases poétiques, quelques poèmes.. Quel assemblage!

Même si j’ai « passé l’âge » de lire des contes, je reste encore toute emballée lorsque j’en lis un. Et je dois avouer que celui-ci n’est pas commun! Pas gnian-gnian comme certains contes où l’on connaît le début dès la première ligne, non. Ce petit conte possède une belle moralité. L’auteur, dès le début de ses pages, a réussi à m’emmener loin, dans un pays hors du commun, voire décalé. Et lorsqu’on me fait voyager, je craque.

En conclusion, je dirai que ce Conte est destiné aux plus petits, certes, mais aussi aux plus grands (comme le dit la 4e de couv.). Après tout, ça ne fait pas de mal de retomber en enfance, non?

Je remercie encore une fois l’auteur Pierre Thiry pour m’avoir fait partager son ouvrage.

Laisser un commentaire