Paul Verlaine, Fêtes galantes & Romances sans paroles

Résumé :

Deux recueils majeurs de l’un des poètes les plus originaux du XIXe siècle finissant.
Des tableaux de Watteau aux manèges de Bruxelles, entre « fêtes galantes » et « romances sans paroles », écoutez la chanson grise et douce de Verlaine, entendez cette autre voix de la modernité poétique.

Mon avis:

N’étudiant que cette oeuvre la semaine prochaine en cours, je ne pourrai pas vous écrire une chronique très conséquente malheureusement. Disséquer la poésie n’est pas quelque chose de facile.

Cependant, je peux vous assurer une chose, c’est que j’ai beaucoup apprécié cette lecture. A la fois musicale et douce (comme une berceuse), ce fut un moment de bonheur. Grâce à la présence de l’amour, où de la nature, Verlaine a fait danser mon coeur le temps d’une heure.

Les fleurs, les coquillages, ou encore l’amour, beaucoup de choses sont exprimées ici. Verlaine possède une plume assez particulière, mais je l’ai cependant beaucoup appréciée! Même s’il m’a fallu pour certains poèmes du temps pour les comprendre…

Pour conclure (eh oui, déjà), je dirai que ces poèmes sont tous très originaux. Verlaine a réussi à me faire voyager dans chacun de ses poèmes, il a presque réussi à me faire sentir des odeurs que je n’avais pas autour de moi. Cette lecture était ce qu’il me fallait pour accompagner une après-midi au soleil! Je ne regrette donc pas du tout d’avoir lu ce petit livre.

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal

Résumé :

« Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ? / Au fond de l’inconnu, pour trouver du nouveau ! » Ces vers du « Voyage » éclairent à eux seuls l’entreprise du poète. Esprit vagabond, toujours mobile, Baudelaire explore les dédales de la conscience. Il atteint tantôt à l’extase, tantôt se perd dans les abîmes du péché. À travers ses poèmes, il nous fait partager le drame qui se joue en lui et qui n’est autre que la tragédie humaine. Baudelaire, premier poète moderne, donne à la poésie sa véritable dimension : exprimer, par-delà les mots, ce vertige absolu qui s’empare de l’âme. Tout chez lui, en lui affirme la nécessité de la souffrance, la fatalité du péché. Tout traduit en lui une âme profondément troublée mais charitable. Baudelaire fait des Fleurs du Mal un immense poème de la vie et du monde.
Mon avis :
Pour commencer, je dois avouer que je suis assez fière de m’être lançée dans Les fleurs du Mal de mon plein gré. On m’avait suovent dit que c’était très difficile et que j’allais abandonner.. Eh bien non ! Ces poèmes m’ont énormément plu, et Baudelaire est maintenant un auteur (et poète) que j’adore. Certains poèmes dans ce livres ont même été jusqu’à me tirailler le coeur, je ne saurais expliqué ce que j’ai ressenti. Ce que je peux vous assurere, c’est que je suis ressortie de ce livre comme après avoir fait un coma de quelques années.